Disque stockage

C'est la quantite et la future utilisation des donnees qui determinent le choix du support de stockage.

Rotation des stocks

la rotation des stocks doit avoir une frequence elevee, et la gestion des approvisionnements doit etre optimale.

L Evaluation des stocks en comptabilite

En comptabilite, tous les stocks doivent etre evalues, qu il s agisse de marchandises, de matieres premieres, d en cours de production.

La methode de gestion de stock Wilson

Issue de la recherche operationnelle, la formule de Wilson (1934) ou formule du lot economique determine la periode optimale.

LA METHODE ABC

Parmi les nombreux articles en stock, tous n ont pas la meme importance.

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Rack de stockage


Pour stocker les marchandises volumineuses et lourdes en toute sécurité et faciliter leur manutention
Le rack de stockage est, comme l'armoire de stockage, le bac de stockage, la boîte d'archivage, la palette de stockage et le container, un type de rangement pour le stockage.

Définition du rack de stockage

Le rack de stockage est composé d'éléments prévus pour entreposer des produits lourds et encombrants. Il est constitué de :
  • longerons,
  • échelles,
  • plateformes.
Les types de racks

Le rack de stockage est spécialement étudié pour recevoir tous types de marchandises de différentes tailles. Il est conçu pour :
  • Le rayonnage cantilever, à savoir :
    • panneaux de bois, agglomérés, placo ;
    • fardeaux, poutres ;
    • tôles, tubes.
  • Les bobines et tourets permettant un déroulage facile des câbles et leur manutention.
  • Les pneus : le rack spécifique est adapté à tous pneumatiques.
  • Les tablettes : d'une grande rigidité, elles sont de différentes dimensions et peuvent être modulables. Montées et démontées facilement, elles assurent ainsi un rangement optimal.
Rack stockage : palettier

Pour le stockage des palettes, il existe différentes catégories de racks de stockage :
  • Le rack dynamique :
    • Ce système d'installation optimise au maximum le volume de stockage disponible.
    • Il est conçu pour les zones de chargement et de déchargement.
    • Il offre un gain de place considérable conduisant à réduire les allées de circulation.
    • Grâce à ses rails de répartition, les palettes peuvent être stockées en profondeur en toute sécurité.
  • Le rack mobile :
    • Le rayonnage monté sur rail permet de mieux exploiter et libérer la marchandise.
    • Ce système facilite le déplacement des palettes positionnées latéralement.
  • Le rack classique : il est conçu pour stocker tout type de marchandises conditionnée sur palette. Il est adapté à toute configuration, c'est pourquoi il est le plus utilisé.
  • Le rack picking : idéal pour la préparation des commandes, ce type d'installation est spécialement adapté pour réduire le temps de manipulation des articles en vue de les expédier rapidement aux clients.
  • Le rack transtockeur : un système de stockage automatisé qui se déplace à l'horizontale et à la verticale. Prévu pour de grandes hauteurs, il est guidé au sol par un rail facilitant l'accès aux rayonnages.
Sécurité du palettier

Pour les racks à palettes, il existe des accessoires assurant la protection des personnes et du rayonnage contre les chutes de palettes.
La meilleure façon de protéger les personnes et les biens en cas de chute de marchandises consiste à fixer un filet protecteur anti-chute sur la face avant du rack de stockage.
Prix d'un rack de stockage

Le rack de stockage est livré en kit. Le prix du produit dépend de sa taille et de son niveau de charge. Néanmoins, le tableau suivant vous donnera un aperçu des tarifs.
Dimensions en mm. H/P
Poids de charge par niveau en kg
Fourchette de prix
2000 × 400
155
100 € à 250 €
2000 × 600
1100
200 € à 300 €
3500 × 1000
2100
250 € à 500 €
3500 × 1000
3600
350 € à 600 €
4500 × 1000
2100
350 € à 700 €
4500 × 1000
3600
500 € à 750 €

Bon à savoir : des accessoires peuvent être ajoutés, tels que des sabots de protection, une lisse stop palet
te, ou encore une ou des échelles.

Le prix du stockage



Pour connaître le prix du stockage, mieux vaut ne négliger aucun critère : d'une bonne évaluation des besoins dépendra la précision du devis.
Évaluation du prix du stockage
Que l'on souhaite acheter ou louer un entrepôt, il est indispensable d'évaluer précisément ses besoins en matière de stockage. L'entreposage représente un coût non négligeable pour une entreprise. Celui-ci est déterminé par :
  • La taille des locaux.
  • L'effectif.
  • Les moyens mis en place pour assurer la sécurité des personnes et des biens.
  • Les dépenses annexes :
    • assurance ;
    • électricité ;
    • crédits affectés à l'achat ou à la location de l'entrepôt.
Prix stockage : demande de devis
Lorsque le type de local de stockage nécessaire à l'activité est déterminé, une demande de devis est incontournable. Pour obtenir un chiffrage le plus précis possible, il est utile de transmettre les critères suivants :
  • la superficie de l'espace de stockage ;
  • le type de marchandises à entreposer (frigorifiées, produits dangereux, marchandises volumineuses, médicaments, etc.) ;
  • l'importance du rayonnage ;
  • l'emplacement géographique ;
  • la configuration des allées et espaces de stockage, de l'aire de livraison et de la cellule d'organisation réservée au personnel affairé à la logistique.
Conseils de spécialistes
Lors d'une demande de devis, le client est généralement contacté par un conseiller apte à l'orienter vers la solution la plus adaptée. Ce peut être en matière de locaux, mais également de prestations :
  • engins de manutention ;
  • rayonnage et autres accessoires de rangement ;
  • aménagement des zones de chargement et déchargement ;
  • service de vidéo-surveillance.
Chaque demande étant extrêmement spécifique, le prix de stockage ne peut être communiqué qu'après une étude détaillée par des professionnels.

Louer un entrepôt



Le choix d'un entrepôt en location est dicté par les besoins de l'entreprise en matière de stockage.
Les entreprises ont la solution de louer un entrepôt pour entreposer leurs marchandises.

Louer un entrepôt : choix du local

Les locaux à louer présentent des niveaux d'équipements adaptés et leurs caractéristiques sont variables. Les critères de choix d'un entrepot sont :
  • La superficie, déterminée par la nature et la quantité d'éléments à stocker.
  • La nature du local, qui peut être ventilé, réfrigéré, climatisé, etc.
  • L'accès, qui doit permettre livraison, circulation, récupération des marchandises.
  • Le volume, en rapport avec celui de la marchandise à entreposer.
  • Les infrastructures sécurisées (alarme anti-intrusion, surveillance vidéo, système de détection d'incendie, etc.).
  • L'éventuelle mise à disposition d'engins de manutention, tels que : chariots, transpalettes, diables, trans-stockers...
  • L'éventuel équipement de stockage : racks, palettiers, étagères, armoires de rangement et autres.
Louer un entrepôt frigorifique

Les entreprises ne possédant pas de locaux adaptés à l'entreposage de produits frais peuvent louer un entrepôt frigorifique.
Le choix du local dépend de l'équipement et de l'espace nécessaires pour conditionner la marchandise dans le respect de la réglementation. Le local doit satisfaire aux besoins suivants :
  • Mise à disposition d'équipements pour optimiser le stockage de produits frais.
  • Libre circulation pour accéder aux marchandises stockées.
  • rangement facilité pour la mise en place d'étiquetage afin d'obtenir une meilleure traçabilité et d'assurer une parfaite gestion des dates.
  • Mise en place éventuelle d'un système informatisé pour mieux gérer le flux des produits stockés.

Exemple de fiche de valorisation des stocks


Exemple de fiche de valorisation des stocks

Sur-stockage

Le premier signe de la mauvaise santé d'une entreprise est le sur-stockage,

sur-stockage peut découler d'une mauvaise gestion des approvisionnements ou des stocks, ou d'une rotation des stocks insuffisante.

Gestion des stocks et sur-stockage

La gestion des stocks est une activité-clé d'une entreprise. Afin de répondre à la demande des consommateurs tout en minimisant les coûts liés au stockage, il est impératif de

  • trouver un équilibre au niveau de :

v  la gestion des approvisionnements ;
v  la rotation des stocks ;

  • et ce, afin limiter le sur-stockage.

Éviter le sur-stockage

Stocker a un coût ; aussi, les entreprises ont tout intérêt à minimiser le sur-stockage.
En effet, le sur-stockage augmente :

  •   Les charges fixes :

v  locaux ;
v  rangements stockage :
v  machines.

  • Les charges variables :

v  loyer, électricité :
v  charges liées aux salaires du personnel :
v  entretien ;
v  dévaluation des stocks.
Les frais engendrés par le sur-stockage impactent aussi les immobilisations des capitaux : chaque produit stocké diminue la trésorerie de l'entreprise, d'où la nécessité d'avoir une rotation des stocks élevée.

Les risques du sous-stockage

Si le sur-stockage n'est pas bénéfique pour une entreprise, le sous-stockage ne l'est pas plus. Avoir des stocks trop faibles peut également avoir des conséquences négatives.
Le sous-stockage :

  • accroît les risques de rupture de stocks ;

  • diminue le chiffre d'affaires de l'entreprise ;

  • provoque le mécontentement des clients ;

  • désorganise la chaîne de production.

Rotation des stocks




Rotation des stocks

  Pour une bonne gestion des stocks,
 la rotation des stocks doit avoir une fréquence élevée, et la gestion des approvisionnements doit être optimale pour éviter le sur-stockage.

Enjeux de la rotation des stocks

La rotation des stocks est le renouvellement du contenu du stock d'une entreprise.
Le but d'une entreprise est d'avoir une rotation rapide des stocks afin d'en minimiser le coût. En effet, d'un point de vue comptable, si la rotation des stocks est rapide, l'amortissement des frais fixes pourra être réparti sur une plus grande quantité de marchandises.

Rotation des stocks et performance

La fréquence de rotation des stocks d'une entreprise est proportionnelle à sa compétitivité. Aussi, une entreprise qui a une rotation rapide de ses stocks est également une entreprise qui a une bonne activité.
Avoir une bonne rotation des stocks, c'est optimiser :
  • le gestion des approvisionnements ;
  • la gestion des stocks ;
  • les achats.

Calculer la rotation des stocks

La rotation des stocks peut être calculée. Les résultats du calcul donnent un nombre de jours et peuvent donc indiquer la fréquence de renouvellement des stocks sur une période donnée.

Formule de calcul

Le calcul de la rotation des stocks est le suivant :
(Stock de marchandises / Prix d'achat des marchandises vendues) × 360

Interprétation

Selon l'activité de l'entreprise, le renouvellement des stocks peut être plus ou moins fréquent. En plus du calcul de la rotation des stocks, il faut analyser :
  • La durée d'un cycle d'exploitation :
    • Plus le cycle est long, plus la rotation des stocks est lente.
    • Plus le cycle est court, plus la rotation des stocks est fréquente.
  • La saisonnalité de l'activité.
  • Le secteur d’activité de l’entreprise.

La démarque et sa gestion



La gestion de la démarque, principale cause de la démotivation du personnel, impose une remise en cause des méthodes de gestion des contrôles, dans tous les flux matières et financiers.
La démarque est l’obsession de la distribution, qui à cause de son amplitude peut voir rapidement s’effacer ses bénéfices. La tradition de la porosité de la caisse rend difficile à contrôler à partir d’un croisement entre mouvements produits et mouvements financiers, des flux ‘disparus’ ; les contrôleurs fiscaux ne sont pas mieux armés.
La démarque inconnue ( pertes non enregistrées hors inventaires ) a beaucoup de sources et représente sur le commerce Français en coût matière, un montant annuel de 4,35 Milliards d’Euros (1,29% du CA HT contre 1,23 % en moyenne européenne ) . Le Center for Retail Research (2006) donne la répartition suivante :
Donc la cause est incertaine, le lieu et le moment indéfini et le constat aléatoire. Cette démarque est mesurée en coût de perte de coût produit, mais n’inclue pas les coûts de contrôle qui s’élèvent en France à 1,44 Milliards € ( hors coûts traditionnels d’inventaires et coûts de systèmes d’information )   .
La gestion de la démarque incombe habituellement au personnel de magasin qui statistiquement en est une cause pour 1/3 ; il existe alors un traumatisme certain à faire réaliser un contrôle par une équipe qui s’auto-soupçonne. Le résultat économique est souvent déplorable, créant dans les équipes ‘magasins’ des dysfonctionnements préjudiciables à l’efficacité merchandising.
Le coût global de la démarque est tellement supérieur, au strict coût de la perte, que les méthodes de gestion des contrôles si elles aboutissent à drastiquement limiter la démarque inconnue peuvent présenter, sans scandale dans la distribution accompagnée, un coût nettement supérieur à celui de la démarque constatée avec les contrôles traditionnels : ce coût n’atteindra jamais le cumul des pertes matière avec la charge de gestion du turn-over ajouté du coût des ventes et clients perdus. Dans les boutiques d'une enseigne de luxe connue, l'ambiance déplorable créée par le soupçon et les surcroit d'horaires liés aux pertes et au tentatives de contrôle, transpire jusque dans les contacts clients/équipe et provoque méventes et perte de clientèle. 
Les ventes de produits à forte valeur et à faible volume sont évidemment les plus surveillées, et celles sur lesquelles les méthodes les plus avancées sont testées. Pas forcement duplicables, avec d’autres contraintes de volume ou de prix unitaire, voir de disposition magasin, les expériences de la gestion de la démarque méritent d’être résumées ici dans leurs échecs et leurs réussites.
Un préalable évident : il n’est possible de prêcher la vertu, sans un minimum d’exemplarité. Le contrôle de la démarque engage l’enseigne et les points de vente, dans un processus de transparence des flux matières, financiers, encaissement et de présence de personnel. Il faut l’accepter. Ainsi dans cette chaine de restauration, toutes les entrées matière sont pesées et toutes les sorties également par destination y compris les pertes. La production code barrée est comparée à la commande et à la consommation qui est mise en regard de l’encaissement. Le coulage est alors informatiquement contrôlé dans des marges de tolérance qui permettent l’effort commercial ; et les pratiques d’élasticité liées à des entrées parallèles sont strictement encadrées. Aucun prélèvement de caisse avec ou sans refonte du ticket Z n'est donc possible.
Toutes les solutions employées ont pris en compte la globalité de la chaine de gestion des flux matières et des flux financiers. Sans cette approche globale, les différentes sources d’erreurs polluent les informations qui permettent de juguler, correctement les flux jusqu’à l’encaissement bancaire. Toujours dans l’étude du CRR, l’étiquetage électronique à la source sur base EAS ( qui permet le contrôle également à la sortie ) représente au mieux 10 % d’une catégorie de produit ( cosmétiques ).
L’étiquetage électronique à la source permet de quantifier des étiquettes attachées à un produit mais n’est efficace dans la suite de sa vie que pour assurer une sécurité de sortie ( vol à l’étalage ). C’est donc vers l’identification unitaire à la source ( électronique type RFID UHF, ou non ) que se sont portées depuis 1996, les expériences des enseignes très soumises aux risques de démarque. Il est  intéressant de voir en 2006 quelles sont les attentes de la distribution vis-à-vis de la RFID et de mettre ces attentes en perspective des avantages tirés du retour d'expérience  :

L’identification unitaire répond au premier item ( Inventaires et distribution )  avec pertinence. Inventorier par comptage d’unités est beaucoup moins aisé que d’accumuler des unités différentes : l’absence de risques de doublons ouvre l’inventaire dans l’espace et dans le temps ; il permet sur des sites multiples de gérer ‘’l’absent’’ sur la durée. Autre avantage attendu dans ce premier Item, la rapidité liée au transport électronique de l’information, d’où l’absence de manipulation mais aussi de visibilité du produit. L’expérience montre que le bât blesse et que des correctifs sont à apporter. Ce qui est lu c’est l'identifiant de l’objet et non l’objet lui-même et quand l’objet est un contenant, l’identifiant du contenant et non le contenu ( voir le cas Viagra ). Dans un inventaire physique, la quantité est associée au produit vu. Des mesures ont donc été imaginées pour s’assurer d’un meilleur taux de correspondance. Un inventaire en lui-même ne corrigera pas la démarque, il sert à évaluer et qualifier un stock. Croisé avec le contrôle des flux d’entrée et de sortie, l’inventaire offre une représentation de la démarque potentielle, depuis le dernier inventaire, à un instant et pourrait participer à la prévention des pertes ( 2em Item ).      

Cette étude ( CRR ) montre encore combien la démarche du contrôle de la démarque subit encore l’influence exclusive du vol à l’étalage et des coûts directs de personnel. C'est-à-dire des deux sources majoritaires de coûts. Et ce même dans des secteurs ( distribution parfum/cosmétique ) ou de par les dires des logisticiens, la démarque et le coulage ont lieu tout au long de la chaîne et ou l’ambiance de l’accompagnement est prépondérante pour la vente et la conservation du client.
Les entreprises qui ont accepté, très tôt d’évoluer dans cette démarche, ont rapidement compris que la démarche était globale ou qu’elle n’était pas. Par exemple les flux de facturation ne sont plus liés au flux théoriques d’expédition, mais aux flux constatés d’articles/objets mis dans leur contenant d’expédition lui même scellé et identifié.
Pour que le contrôle des flux d’articles, soit peu couteux et surtout peu traumatisant pour les équipes, il est inclus dans l’amélioration de la gestion administrative et technique des flux y apportant des services complémentaires ( ex : la traçabilité et la garantie fraicheur). L’efficacité du système impose que sans unité de lieu et de temps, et comme l’erreur est intrinsèque à chaque processus humain, la traçabilité de tous les passages serve de base au contrôle effectif des démarques inconnues.
Les flux financiers sont ensuite raccordés aux flux d’articles et ce exhaustivement pour que la balance flux financiers, flux matière soit intégralement équilibrée, jusqu'aux contrôles bancaires. Il est donc nécessaire qu’en l’absence d’EAS chez certains fournisseurs, un organe de répartition vienne apposer les identifiants et que soient créés des objets services pour toutes les ventes non associées à des mouvements d’articles.
La sortie magasin est contrôlée grâce à la disposition des traceurs et des portiques qui s’inscrivent dans la dynamique de liberté du chaland ( découverte , appropriation, déambulation ), et sont incorporés au concept. La trace de sortie d’objets non passés en caisse semble être en voie de résolution avec des RFID puissantes. Tout en étant conscient que la désolidarisation du traceur et de son support reste la faille essentielle de ces sécurités aveugles.
L’inventaire et l’implication du personnel magasin devient une formalité dans un océan d’informations qui recoupées permettent d’encadrer la probabilité de la source de la démarque. 

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